Galerie d'Art contemporain Pascal Lainé à Ménerbes
Depuis 1988
Galerie d'Art contemporain Pascal Lainé à Ménerbes
Art contemporain, Galerie Pascal Lainé
20 ans 25 ans 4 en liberté Alechinsky Ambrose Belaiche Binder byLéon Cara Chandon Clément Clerté Conrad Cortot Coville Culot Degottex Derval Desailly Deymier Deyrolle Dhomme Di Stali Downing Drouillet Duminil Engelman Faury Ferrer Flamine Gérard Ghez Gignoux Glasberg groupe 2005 groupe 2007 groupe 2010 groupe 2011 groupe 2013 Hughes Jaccaud Johnson Junglas Kirch Klasen Krellenstein La Vista Laemlé Laruelle Leconte Mitev Leydier Leyris Lindström Loeb Maar Martens Marx Meyer Monboisset Monnier Muhlstein Olsen Parcours de sculptures 2013 Parcours de sculptures 2017 Polge Pons Prassinos Prével Renard Roy Salles Schlumberger Segui Serrano Silvester Steffens Steiner Tapernoux Testa Thierry Thomas Tiphaine Toubeau Van Der Stigghel Vasarely Vérame Viard Villeglé von Wrede Woodward
Gérard Drouillet < >

Expositions personnelles Expositions collectives Ménerbes 2008
in memoriam Gérard Drouillet
Ménerbes 2011

 

 

Né le 8 Février 1946 à Marseille, Gérard Drouillet étudie la céramique, de 1963 à 1968 aux Beaux-Arts d’Aix-en-Provence où il aura comme professeur Mademoiselle de Terris, elle-même élève de Madame Décaris, comme Amado et Ben Lisa. Il se dirigera d’abord vers la peinture, sans jamais quitter le monde de la céramique.
Au début des années 70, il s’installe dans l’Est de la France, puis en Suisse Alémanique, où il découvre les œuvres des expressionnistes ce qui l’amène à pratiquer une écriture sans concession. Il s’adonne alors à une peinture empreinte de dureté avant de faire la rencontre du peintre Sidney Shapiro qui lui révèle les grandes figures de l’art américain de l’après-guerre.

En 1980, il revient vivre en Provence et s’installe à Eygalières, près de ses amis Louis Pons et Mario Prassinos. Dès lors, ses tableaux délivrent une couleur plus franche, bien que la palette se restreigne à quelques tonalités mettant en valeur des formes symboliques et des figures tutélaires.
La passion de la terre l’appelle à nouveau.
La pratique de la terre occupe toujours une place prépondérante dans son œuvre, qu’il façonne des pièces décoratives traditionnelles enrichies de reliefs et de formes inventives ou qu’il moule dans du plâtre des symboliques-feuille, étoile, coloquinte, spirale avec flèche, conversation tête et cœur, diable, œufs, chien, - qui sont ensuite estampées. Sa maîtrise technique l’amène à réaliser des sculptures en terre chamottée qu’il orne de dessins à l’oxyde ou de glaçures. Ses nombreux séjours en Corse ouvrent la voie à une nouvelle période où semble s’établir une relation première entre l’être, l’animal et le végétal. Il y puise en effet une nouvelle énergie au contact de ses proches, de la mer et de la lumière azuréenne.
Il crée en Corse le Chien l’année de la mort de sa mère en 1995, le chien qui est de toutes les civilisations, le lien avec l’au-delà dans la symbolique romaine.
En 1996 il crée la Chienne pour former le couple.
De 1996 à 2001 il travaille dans l’atelier des Buffile à Aix-en Provence, lieu intense et traditionnel, qui porte avec lui toute l’histoire de la céramique aixoise.
Toute sa démarche artistique est connotée d’un réel contenu spirituel. La constante référence a des symboles, des écritures méditerranéennes que l’on doit lire ou regarder, se confronte aux éléments fondamentaux eau/ terre/ feu/ air.
Le choix des couleurs remonte à l’Antiquité: le gris, le noir, le blanc, l’ocre.
Le blanc pur et létal, blanc du deuil et du silence, absolu du blanc, originel, neige
éternel, blanc des masques et des mots, des neiges éternels. Noir ébène, corps noir, continent noir, profondeur et sagesse d’un soleil noir. Pour cette exposition, il crée quelques pièces d’un rouge puissant et provocateur.
Gérard Drouillet se sert de la terre chamottée puis l’émaille de noirs puissants ou du dessin à l’oxyde sous couverte. Qu’ils s’agissent de bols, de grands plats, ces objets deviennent vite des pièces uniques au décor élaboré où la peinture investit la forme. Il travaille plus comme en peinture, aimant finir avec ses mains, ses doigts enfonçant la terre, lui donnant l’ultime couleur, l'ultime dimension. Il n’y a pas que l’outil qui transcende l’œuvre, son travail est aussi physique.
Après cette période de mise en place, Gérard Drouillet éprouve un besoin de sur dimension.
Ses préoccupations actuelles se portent sur la possibilité de réaliser des œuvres
monumentales avec un four lui permettant d’entreprendre des muraux et des objets de grande dimension. Le propos devient plus monumental, plus architectural.
Ainsi depuis 2003, il effectue de nouvelles recherches chez les Bareff à Tulette (Drôme provençale). Le four à gaz de 1,50 mètre sur 1,80 mètre lui permet avec son complice Guy Bareff d’essayer avec des cuissons à 1 000 degrés des plats démesurés, des vases sculpturaux, pièces uniques sorties de son imagination, réminiscence des céramiques antiques.
Son seul et unique problème est d’arriver à transformer l’œuvre picturale en céramique, de détacher de la toile les symboles et de les réintégrer sur une nouvelle forme en un nouveau graphisme.
L’urgence et la pression de l’expression donnent lieu à plusieurs modes et techniques simultanées: pas de dessins préparatoires, la rapidité dans le geste instinctif donne de l’intensité à la créativité. Toutes les œuvres de Gérard Drouillet sont des pièces uniques.
Pierre Passebon a su recréer dans l’espace de la Galerie du Passage le monde intérieur de l’artiste, qui prend ainsi possession de l’espace et du mur. Ses céramiques sont exposées au milieu de ses derniers dessins et de quelques une de ses toiles.
La céramique de Gérard Drouillet nécessite un déchiffrement et l’œil ne doit pas s’arrêter sur une simple image séduisante et décorative. Produit d’une recherche élaborée dont l’art est de s’effacer devant la simplicité, de détourner l’usage décoratif au profit de l’usage symbolique, toutes ces œuvres sont chargées du poids de la force de l'histoire et du temps.

Gérard Drouillet nous à quitté le 25 juin 2011 à l'âge de 65 ans.

 

 

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Pour Drouillet


- Notre ami Gérard nous a quitté
- Trop vite, trop tôt, trop douloureusement
- Il a rejoint le trop vaste pays du silence
- Ses carnets de dessins quotidiens se sont fermés, noires couvertures
- Maintenant, ses toiles nombreuses, fortes, brutales et subtiles nous parlerons longtemps
- 3 chiens de céramique gardent le souvenir pour chacun de nous
  Malgré le Mistral qui emporte tout

Louis Pons, Août 2011

 

 

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In memoriam Gérard Drouillet

 

Gérard Drouillet Gérard Drouillet nous a quittés samedi 25 juin 2011. Après transfert depuis sa maison d'Eygalières, ses obsèques se sont déroulées au cimetière du Tholonet, dans l'après-midi du mardi 28 juin. La soudaineté de son départ oblige à repenser la courbe inattendue de son destin, l'étonnant maelstrom des travaux qu'il avait superbement orchestrés.
Gérard Drouillet fut d'abord et avant tout peintre et dessinateur.
Pendant les dix dernières années de son parcours, les arts de la terre, la céramique et la sculpture prirent une place de plus en plus importante.
Il était né le 8 février 1946 à Marseille, son premier logis se situait près de l'Anse du Prophète. Le château de Meyrargues où vivait sa mère, quelque chose d'irréparable - un accident d'automobile, le décès de son frère et d'une partie de sa famille - et puis l'Ecole des Beaux-Arts d'Aix-en-Provence orientèrent ses choix les plus profonds. Des enseignants de grande exigence et de belle culture achevèrent de lui donner le goût de la rigueur et de la liberté. Non loin de Vincent Bioulès et de la graveuse Germaine Pratseval qui étaient solidement ancrés en modernité, il se souvenait volontiers avoir suivi des cours de personnages de plus anciennes obédiences, avec les peintres Albert Coste (1895-1985) et Renée Jullien ainsi qu'avec la céramiste Mademoiselle de Terris. Entre 1971 et
1979, un détour par l'Alsace et la Suisse Alémanique introduisit plusieurs basculements dans son travail : la découverte de l'art brut, la perception de l'expressionnisme allemand ou bien Mathius Grunenwald ouvrirent d'audacieuses explorations. Pour faire bref, on dira de son oeuvre point du tout normalisée qu'elle conjuguait, sans la moindre concession à l'air du temps, ses goûts très vifs pour la turbulence et la magnificence.

Son retour définitif dans le Sud s'effectua à Eygalières voici plus de trente ans, dans la compagnie de son proche ami, l'antiquaire Bernard Paul. Sa très forte énergie, son humour, ses emportements et ses joies l'éloignaient de toute demi-mesure. Le vaste atelier avec de grandes baies où il stockait ses travaux, la chambre plus étroite où il travaillait quotidiennement évoquaient immédiatement une étrange alliance de solitude et de convivialité. La proximité de l'Isle su
r Sorgue et de Saint Rémy de Provence assura de riches débouchés à ses travaux : de nombreuses maisons sudistes abritent les toiles que les décorateurs et les antiquaires négociaient volontiers pour lui.

Ce grand marginal vivait à la fois frugalement et fastueusement. Sa curiosité et ses engouements n'avaient pas de limites, il  collectionnait toutes sortes de talismans, des objets d'art populaire, des masques africains ou bien océaniques. Les territoires des Alpilles qu'il affectionnait ne ressemblaient jamais à un dépliant d'office de tourisme, il appréhendait joyeusement le sillage de Mario Prassinos (1916-1985) et les fréquents retours vers Eygalières de son grand ami Louis Pons. En juillet de chaque année, il donnait de grandes fêtes dans son atelier ou bien dans une proche maison : en cette occasion, on découvrait ses plus récents travaux ou bien les pièces de quelques-uns de ses amis. De grands et généreux projets l'animaient pour son village d'adoption. Gérard Drouillet voulait faire construire dans sa demeure des fours, une manière d'atelier-exposition aurait relancé sur place les travaux de créateurs de sa connivence.

Ses expositions furent fréquentes. On se souvient de ses apparitions chez l'antiquaire aixois Georges Morel, au Goethe Institut de Marseille ou bien à la galerie Malaval de Lyon. Genève, Paris, Strasbourg, Sète, Ménerbes, Michel Biehn et  l'espace Béchard à l'Isle sur Sorgue, Philippe Latourelle et le Centre Présence Van Gogh de Saint Rémy de Provence, des galeristes inventifs comme Yves Faurie et Pascal Lainé accueillirent ses travaux. En juin 1996, rue des Marseillais, j'avais réuni quelques-uns de ses moyens formats, des peintures et des dessins. Pendant l'été de 1998, avec Jean-Jacques Ceccarelli il avait eu joie à  montrer son travail à Bucarest. Sa première rétrospective fut  impressionnante : elle fut programmée pendant l'été 2006 au musée Paul Valéry de Sète. Gérard Drouillet avait soixante ans. Un matin de juillet, il s'était spécialement déplacé depuis Eygalières pour me raconter son périple et faire le parcours du musée en compagnie de trois de mes amis.
La Corse fut souvent son lieu de retirement pendant les récentes années. Deux expositions de belle venue se déroulèrent en avril 2009, chez Pierre Passebon, au Passage Vero Dodat de Paris et puis en septembre-octobre 2010, en Alsace, dans les espaces de la Fabrique d'Hegenheim : Gérard envoyait toujours à ses amis,  avec beaucoup de fidélité et de professionnalisme, les catalogues qu'il publiait. Voici quelques années, un beau et très légitime projet d'exposition brièvement imaginé par le musée des Tapisseries d'Aix ne fut malheureusement pas
réalisé. Un hommage lui sera rendu en septembre 2011, à Ménerbes, chez Pascal Lainé. On retrouvera des terres cuites et des émaux issus de ses travaux dans deux ateliers qu'il fréquenta assidûment : tout d'abord à Aix-en-Provence, l'Atelier Buffile (1996-2001) ensuite chez les Bareff qui sont domiciliés à Tulette dans la Drôme, un lieu où prirent relief de plus amples figurines, des grands plats, des vases anthropomorphes et de très insolites volumes sculpturaux.

Ses journées à Eygalières commençaient souvent par l'intrépide exécution matinale d'un dessin : les énormes liasses de ses carnets de chaque jour qu'il avait magnifiquement conservés renferment le perpétuel déferlement de ses thématiques, ses fréquentes hantises, ses déroutements et ses inlassables déchiffrements. Ce grand condottiere oeuvrait le plus souvent à plat sur la grande table de son atelier. Il envisageait avec prodigalité, par les quatre côtés de sa toile, les fragmentations, les balafres et les décentrements qu'il articulait : un maximum de désordre et d'accidents trouvait parmi ses tableaux de quoi s'organiser et se refonder, avec risque et souplesse.

La virulence de ses sensations, ses frayeurs, ses joies et ses ébranlements n'empêchaient pas que tout parvienne à se catalyser sur ses toiles avec beaucoup d'ombres, de lumières et de musicalité. On reconnaissait aisément son écriture et ses leit-motivs. Des masques primitifs, un chien qui aboie, des formes de poissons, des visages profilés, des feuilles, des coloquintes, des spirales et de
s amphores surgissaient dans de grands accompagnements de couleur où dominaient souvent des verts émeraudes, des pourpres, des jaunes et des ocres. Une sorte d'avant-monde méditerranéen peuplé d'énigmes, d'aurores et d'interdits, des genèses, des bestiaires et des escarpements que l'histoire n'aurait pas oblitérés, toutes sortes de circulations, des superpositions et des immanences, du tumulte et des transparences énonçaient dans ses tableaux de très sauvages saveurs.

Des amis aixois, les Merville, m'avaient finement guidé pour mieux appréhender son oeuvre et son atelier, pendant la fin des années quatre-vingt. Je me souviens de l'un de ses passages en juillet 2006, il fit dans ma galerie l'achat d'un tableau de Vincent Bioulès de la série de L'Atelier gris de Cézanne, un petit format qu'il avait jouxté à un plus grande toile de son professeur d'autrefois qui représentait un rivage du
Languedoc : quelques menues silhouettes, des vagues et le souffle de la mer, avec en contrepoints de grands bâtiments dont l'architecture de villégiature pouvait évoquer Edward Hopper.

Voici plusieurs années, je l'avais croisé une ultime fois dans la compagnie de Bernard Paul. Nous devisions en bordure de route depuis la terrasse d'un café, ce bref répit fut sobrement merveilleux. Gérard Drouillet et Bernard Paul, pendant une matinée sans foule de Toussaint, dans la lumière aigûe d'une belle arrière-saison, étaient venus se recueillir auprès de la tombe familiale du cimetière du Tholonet. Voici qu'à présent, et comme il l'avait toujours voulu, son corps repose tout près du moulin et de la courte montée qui conduisent vers l'enclos où sont inhumés Léo Marchutz, André et Rose Masson ainsi que Georges Duby. Jusqu'au terme, depuis le début de ses chimiothérapies en septembre 2010, Gérard Drouillet s'est montré courageux. Frédéric est le prénom du compagnon qui l'assista dans ses derniers instants.

Alain Paire,
Choses lues, choses vues, 27 Juin 2011

Reproduit dans la plupart de ses catalogues, le meilleur texte consacré à Gérard Drouillet reste celui qu'avait composé Louis Pons. Pons était présent lors des funérailles. Drouillet pouvait à ses yeux ressembler à un "lutteur japonais" : "le combat se jo
ue en finesse à la surface de la toile" / "la partie se joue à quitte ou double à chaque fois". Il évoquait Eygalières, "le village bagué d'un cercle magique ... Ce pays où tout brûle et où tout est emporté par le vent". Son texte est repris dans le recueil "Portraits de peintres" , où il est aussi question de Jo Berto, de Jean Amado, de François Ozenda et de Françis Limérat. Edité en 2004 à Montpellier par Fata Morgana.

 

  

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Voyages…

La peinture et la sculpture dans nos assiettes, à ras bord les poissons de la Méditerranée, DROUILLET, au comble du bonheur, partage les saveurs. Sucrées, couleur nougat de Sault et des meringues, les sculptures laiteuses de DROUILLET sont autant de friandises qu’Elie nous  choisit un jour de gourmandises en abondance, lui qui crie haut ne pas aimer.

Et en Sicile à NOTO, la flamboyance des putti au bord des toits, les bouches noires, avides dans les yeux du peintre, obsédantes et coulantes de miel lui donnent soif et faim d’eau de mer, à celui-là, faim de nourritures terrestres et tripailles à Ortigia, “la caille”, volatile ; comme autant d’oreilles de Dionysos à Syracuse qui surveillent la parole du prisonnier pour lutter contre l’ennemi, le peintre s’identifie.
On a été servi dans les voyages à la table italienne; Rome, tous les CARAVAGE, LE BERNIN au grand complet, en ordre de marche, nous font envie, nous mettent l’eau à la bouche. Nous sommes comblés avec l’artiste.
Ça fait déjà deux ans l’Italie, non? Le cou de poulet au Cibreo et les tripes…? Retour aux sources de l’enfance à Florence pour les hommes.
Ici, aux « Cinque Terre » aux contours acérés, creusés dans la pierre abrupte et vertigineuse, les « Cinque Terre » aux couleurs d’amandes, de noix, d’olives, de citrons, de cédrats et de vignes, et aussi les symboles de la civilisation antique à la chaleur exotique et luxuriante, le dessin inquiétant, démoniaque, et la couleur de DROUILLET s’y concentrent.
L’oeuvre de GERARD DROUILLET, n’est-ce pas tout cela?

Hélène GARREL (pour l'exposition de Ménerbes en 2008)

 

 

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Expositions personnelles :

 

1969 Festival d’Aix-en-Provence, France
1970 Château de Meyrargues, France
1971
Galerie Jacob, Bâle, Suisse
1972 
Festival d’Avignon, France
1973 Galerie Bernard Paul, Eygalières, France
1974
Goethe-Institut, Marseille, France
1975 Galerie Bernard Paul, Eygalières, France
1976 
Triptyque de la Chapelle de Serruelles, France
1977
Galerie Malaval, Lyon, France
1986
Galerie Georges de Geoffroy, Genève, Suisse
1990
Galerie Beau Lézard Sud, Sète, France
  Salon de Mars, Galerie Alain et Gérard, Paris, France
1991 Galerie Malaval, Lyon, France
  Galerie Alain et Gérard, Paris, France
1992
Centre Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, France
1993
« 30 ans de peinture », Atelier d'Eygalières, France
1994 « Mythologie », Galerie Nina Borowski, Paris, France
1995
Galerie Beau Lézard Sud, Sète, France
1996 Centre Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, France
1997
Galerie Alain Paire, Aix-en-Provence, France
1998 « Céramiques », Galerie Bernard Paul, Eygalières, France
  St’art 97, Strasbourg, France
1999 Galerie Yves Faurie, Sète, France
  Club Pernod, Marseille, France
  Musée Hébert, La Tronche, Grenoble, France
2001 Hôtel du Département, Bastia, France
  « Céramiques », Galerie Bernard Paul, Eygalières, France
2002 Espace Croix Baragnon, Toulouse, France
2003 Mas de la Dame, Les Baux-de-Provence, France
2004 ARTéNIM, Galerie Yves Faurie, Nîmes, France
2006 Rétrospective, Musée Paul Valery, Sète, France
2007 Centre Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, France
2008
Galerie Pascal Lainé, Ménerbes, France
  Maison Roque, Eygalières, France
2009 Galerie du Passage, Pierre Passebon, Paris, France
2010 FABRIKculture centre d'art, Hégenheim, France
2011 « Hommage à Gérard Drouillet », Galerie Pascal Lainé, Ménerbes, France

 

 

 

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Expositions collectives :


1965 Ecole des Beaux Arts d’Aix-en-Provence, Stuttgart, Allemagne
1975 « 9 neufs », Mulhouse, France
1977 Art 8’77, Bâle, Suisse
1981 7ème Biennale de la jeune peinture, Les Ponchettes, Nice, France
1983 Axe art actuel, Toulouse, France
1984 La Malmaison, Cannes, France
  A.R.C.O., Madrid, Espagne
1985 « Dessins dans la ville », Musées de Marseille, France
1986 Festival d’Art contemporain, Clermont-Ferrand, France
1987 Masques d’artistes, Cannes, Chambéry, Chartres, France
  Art jonction internationale, Nice, France
  1ère Foire d’Art contemporain, Rileux-la-Pape, France
1989 1ère Biennale internationale « humour et révolution », Cannes, France
  Musée de Gérone, Espagne
1991 « La ganda », Générik Vapeur, Marseille, France
  « Artistiques 92 », 2ème Biennale des jeunes créateurs, Toulouse, France
1993 « Le Globe », Galerie Lézard d’Ailleurs, Saint-Rémy-de-Provence, France
1994 « Les déjeuners sur l’herbe », Sète, Paris, France
  « Le cirque », Galerie Lézard d’Ailleurs, Saint-Rémy-de-Provence, France
1995 « L’écriture », Galerie Lézard d’Ailleurs, Saint-Rémy-de-Provence, France
  « Tendances 95 », Musée Hébert , La Tronche, Grenoble, France
1996 Galerie Alain Paire, Aix-en-Provence, France
1997 « Les déjeuners sur l’herbe » Domaine de l’Hospitalet, Narbonne, France
1998 « Exhibition de Fanny » Passage du Louvre, Avignon, France
  « France Sud-Roumanie », Galerie Appollo, Bucarest, Roumanie
1999 10ème anniversaire du Centre Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, France
2000 « Mythologies », Club Pernod, Bordeaux, France
  « D’un rivage à l’autre », Palais des Festivals, Cannes, France
  « Fables de la Fontaine », Université Américaine d’Aix-en-Provence, France
2002 « Fables de la Fontaine », Centre d’Art, Université Américaine de Rome, Italie
2003 « Fables de la Fontaine », Seattle, USA
  « 7 lieux, 7 matières », La Terre, Aubagne, France
2004 « Céramiques », Atelier Buffile, Aix-en-Provence, France
2005 « Autour de Cervantès », ARTéNÎM, Galerie Yves Faurie, Nîmes, France
2006 « Autour de Cervantès », Le Théâtre Scène Nationale, Narbonne, La Rochelle, France
  « de Manguin à Baselitz », Centre d’Art Présence Van Gogh, Saint-Rémy-de-Provence, France
2007 « 4 éléments pour 1 cube », Maison Roque, Eygalières, France
  « Don Quichotte », Palais des Congrès, Perpignan, France
  Design Art London, Galerie du Passage, Paris, France
2008 « 2ème flâneries d’Art », Aix-en-Provence, France
  « Le corps, métamorphoses et apparitions », Musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence, France
  « 20 ans dart contemporain », Galerie Pascal Lainé, Ménerbes, France
  Design Art London, Galerie du Passage, Paris, France
2009 Couverture pour la Centième Edition du Guide Michelin, Musée d’Orsay, Paris, France
  « Lignes Choisies », Galerie de l’Olympe, Perpignan, France
  « Alessandri - Drouillet », Maison Roque, Eygalières, France
  « Hommage aux peintres d’Eygalières 1950-1980 », Caland’Art 2009, Eygalières, France
  « 15 regards sur Guernica », Abbaye de Sylvacane, La Roque d’Anthéron, France
2010 Les 10 week-ends de l'Art, Eglise Saint Laurent, Eygalières, France
  AP‘art, Festival International d’Art Contemporain, Musée Estrine, St-Rémy-de-Provence, France
2011 Week-ends de l'Art, Eglise Saint Laurent, Eygalières, France






 

 

 

 


Galerie d'Art contemporain Pascal Lainé à Ménerbes